Il y a peu, j’ai assisté à un débat d’idées passionné - c’est le moins que je puisse dire - entre une aspergirl, que j’appellerai Amélie, et un psychologue atteint d’un handicap physique congénital. Je le surnommerai Stéphane.
Stéphane tentait de convaincre Amélie, qui venait d’obtenir la confirmation, dans un CRA, de son syndrome d’Asperger, qu’elle avait à accepter désormais son handicap.